courtage

Qu’est-ce qu’un courtage hypothécaire ?

Le courtage hypothécaire est un service essentiel dans le domaine du financement immobilier, jouant un rôle crucial dans le processus d’obtention d’un prêt hypothécaire. Il agit en tant qu’intermédiaire entre les emprunteurs et les prêteurs, aidant les particuliers à trouver les meilleures offres de prêt hypothécaire en fonction de leurs besoins financiers et de leurs objectifs immobiliers. Dans cet article, nous allons explorer en détail ce qu’est un courtage hypothécaire, son fonctionnement, son rôle et ses avantages.

Généralités

Le courtage hypothécaire est un service professionnel qui facilite la recherche et l’obtention de prêts pour l’achat de biens immobiliers, de rénovations ou de refinancements. Les courtiers travaillent en étroite collaboration avec les emprunteurs pour évaluer leurs besoins, leur situation financière et leur capacité de remboursement. Ils agissent comme des intermédiaires entre les emprunteurs et les prêteurs, cherchant les offres les plus avantageuses et adaptées à chaque situation.

Fonctionnement du courtage hypothécaire

Le courtage hypothécaire est sous la supervision d’un courtier professionnel. À cet effet, il prend en charge les points suivants :

  1. Évaluation des besoins et objectifs : les courtiers débutent en comprenant les besoins financiers et les objectifs immobiliers des emprunteurs. Ils évaluent les capacités financières, les antécédents de crédit et les aspirations pour personnaliser la recherche de prêts hypothécaires.
  2. Recherche des prêteurs : ils disposent d’un large réseau de prêteurs, y compris des banques, des coopératives de crédit, des institutions financières et des prêteurs privés. Ils explorent ces options pour trouver les meilleurs prêts hypothécaires en fonction des besoins spécifiques de leurs clients.
  3. Comparaison des offres : ils comparent les taux d’intérêt, les modalités de remboursement, les frais et autres aspects des offres de prêt pour présenter aux emprunteurs des choix adaptés à leur situation financière.
  4. Présentation des options : après avoir identifié les options les plus avantageuses, les courtiers présentent aux emprunteurs une sélection de prêts hypothécaires. Ils expliquent en détail chaque option, aidant ainsi les emprunteurs à prendre des décisions éclairées.
  5. Assistance dans le processus de demande : ils aident les emprunteurs à remplir les formulaires de demande de prêt et à rassembler la documentation nécessaire. Ils facilitent le processus de soumission et de suivi des demandes jusqu’à leur approbation.
  6. Négociation et facilitation de la clôture du prêt : ils peuvent négocier avec les prêteurs en faveur des emprunteurs, cherchant à obtenir des taux d’intérêt plus avantageux et des conditions de prêt plus favorables. Ils veillent également à ce que le processus de clôture se déroule sans accroc.

Critères de choix d’un courtier hypothécaire

Recherche approfondie

  • Commencez par demander des recommandations à votre entourage, y compris vos amis, votre famille, vos collègues, ou même votre agent immobilier.
  • Utilisez des plateformes en ligne, des forums, des sites web spécialisés et des réseaux sociaux pour rechercher et comparer les offres de courtage hypothécaire. Lisez les avis et les commentaires des clients précédents pour trouver rapidement une solution appropriée.

Vérification des compétences et de l’expérience

  • Assurez-vous que le courtier à engager est dûment autorisé et possède les certifications requises par les autorités réglementaires de votre région.
  • Recherchez des courtiers ayant une expérience significative dans le domaine et une expertise dans le type de prêt hypothécaire spécifique que vous recherchez.

Rencontres et entretiens

  • Rencontrez au moins trois courtiers différents pour évaluer leurs compétences, leur compréhension de vos besoins et leur réactivité.
  • Demandez-leur comment ils choisissent les prêteurs, quelles sont leurs relations avec ces derniers, comment ils sont rémunérés, et comment ils peuvent vous aider à obtenir les meilleures conditions de prêt.

Analyse des frais et de la rémunération

  • Renseignez-vous sur la manière dont le courtier est rémunéré : commission, frais fixes, ou une combinaison des deux. Assurez-vous que la structure de rémunération est transparente et qu’elle n’entraîne pas de conflits d’intérêts.
  • Comparez les frais facturés par différents courtiers et assurez-vous de comprendre ce qui est inclus dans ces frais.

Évaluation de la communication et de l’accessibilité

  • Évaluez la rapidité avec laquelle le courtier répond à vos appels, courriels ou messages. La réactivité est un indicateur important de leur niveau de service.
  • Le courtier doit être capable de vous expliquer clairement les détails du processus hypothécaire et de répondre à toutes vos questions de manière compréhensible.

Vérification des témoignages et références

Contactez les clients d courtier que vous souhaitez engager pour obtenir des témoignages sur leur expérience avec ce professionnel.

Consultation spécialisée avec un avocat ou un expert financier

Considérez la possibilité de consulter un avocat spécialisé en droit hypothécaire ou un conseiller financier pour obtenir un avis indépendant sur le courtier que vous souhaitez engager.


En agissant en tant qu’intermédiaires entre les emprunteurs et les prêteurs, les courtiers hypothécaires simplifient le processus d’obtention de prêts et aident à sécuriser les meilleures conditions possibles. Avec leur expertise et leur réseau de prêteurs, ils offrent une approche personnalisée pour répondre aux besoins financiers individuels.

ascenseur

Quelles sont les normes de sécurité à respecter lors de l’installation d’un ascenseur ?

L’installation d’un ascenseur doit respecter certaines normes de sécurité pour garantir la sécurité des usagers. Cette opération est régie par la loi et sont régulièrement mises à jour pour répondre aux exigences de sécurité les plus élevées. Les propriétaires d’immeubles doivent donc être conscients de ces normes pour s’assurer que leur ascenseur est conforme aux réglementations en vigueur.

Normes générales

La mise en conformité de l’installation d’un ascenseur est nécessaire pour garantir la sécurité des usagers.

Normes européennes

Les normes européennes qui régissent la conception et la fabrication des ascenseurs sont édictées par le Comité européen de normalisation (CEN) et le Comité européen de normalisation électrotechnique (CENELEC). Leur respect est obligatoire dans tous les pays de l’Union européenne.

Les normes européennes relatives aux ascenseurs sont regroupées sous la norme EN 81. Celle-ci couvre les éléments de sécurité, tels que les portes, les dispositifs de protection, les freins et les systèmes de commande.

Normes françaises

En France, les normes de sécurité pour les ascenseurs sont régies par le ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie. Elles sont regroupées sous la norme NF EN 81-1.

Celle-ci définit les exigences de sécurité pour les ascenseurs électriques et hydrauliques. Elle couvre aussi les exigences de sécurité pour les portes de cabine et les portes palières, les systèmes de commande, les dispositifs de protection, les freins et les systèmes de secours.

En plus de la norme NF EN 81-1, les ascenseurs sont également soumis à d’autres normes françaises, telles que la norme NF P 82-201. Celle-ci mentionne les exigences de sécurité pour les personnes handicapées. Il existe aussi la norme NF P 82-203 qui définit les exigences de sécurité pour les monte-charges.


Processus d’installation d’ascenseur

L’installation d’un ascenseur est un processus complexe qui nécessite une planification minutieuse et une exécution précise. 

Préparation du site

La première étape consiste à préparer le site pour l’installation de l’ascenseur. Cela implique de déterminer son emplacement, de préparer les fondations et de s’assurer que l’espace est suffisant pour effectuer les travaux.

Les fondations doivent être solides et capables de supporter le poids de l’ascenseur. Elles doivent être conformes aux normes de sécurité en vigueur et doivent être construites en fonction des spécifications du fabricant de l’ascenseur.

Installation mécanique

Cette étape implique l’installation de la cabine de l’ascenseur, des portes, des rails et des systèmes de levage. Pour commencer, les portes de l’ascenseur doivent être installées selon les règles de sécurité en vigueur et être équipées de dispositifs de sécurité pour empêcher les accidents.

Ensuite, il faut installer les rails de l’ascenseur avec précision pour garantir un fonctionnement en douceur et sans heurts. Enfin, on procède au test des systèmes de levage pour s’assurer qu’ils fonctionnent correctement.

Installation électrique

La dernière étape du processus d’installation de l’ascenseur est l’installation électrique. Cette étape implique l’installation des câbles électriques, des panneaux de commande et des dispositifs de sécurité selon les normes de sécurité en vigueur.


Maintenance et contrôles périodiques

L’ascenseur doit être soumis à une maintenance régulière, afin de garantir son bon fonctionnement et sa sécurité. Elle doit être effectuée par des techniciens de maintenance qualifiés. En outre, les propriétaires doivent s’assurer que les travaux de maintenance sont effectués conformément aux normes en vigueur.

La maintenance régulière de l’ascenseur comprend notamment :

  • Le nettoyage et la lubrification des composants mécaniques ;
  • Le contrôle des câbles et des poulies ;
  • Le remplacement des pièces usées ;
  • La vérification de la conformité de l’ascenseur aux normes en vigueur.

En plus de la maintenance régulière, l’ascenseur doit faire l’objet de contrôles de sécurité périodiques effectués par des organismes de contrôle agréés. Ces contrôles ont pour objectif de vérifier que l’ascenseur est conforme aux normes en vigueur et qu’il est sûr pour les utilisateurs. Cela comprend la vérification de :

  • La conformité de l’ascenseur aux normes en vigueur ;
  • La sécurité des portes de l’ascenseur ;
  • La présence et l’état des dispositifs de sécurité, tels que les freins d’urgence et les limites de vitesse ;
  • La sécurité électrique de l’ascenseur.

En respectant les normes de sécurité correspondantes à l’installation d’un ascenseur, vous évitez les tracas lors de l’utilisation de l’appareil.

bien immobilier

Déménagement : comment trouver le bien immobilier idéal ?

Plusieurs motifs peuvent vous pousser à prendre la décision de déménager. En général, un couple se contente parfois d’un petit appartement adapté à son revenu. Cependant, quand la famille s’agrandit, on manque d’espace, au point d’être obligé de trouver un autre logement plus grand. En outre, quelle que soit la raison qui pousse à déménager, un déménagement doit toujours être bien préparé. De ce fait, il est important de bien choisir le bien immobilier adapté à ses besoins et son budget. Parlons-en dans cet article.

Comment trouver le logement idéal ?

En général, lorsqu’une personne décide de déménager, la première étape à réaliser est de trouver une maison ou un appartement. Prévoyez aussi une solution de transport adéquate pour avoir une idée du budget que vous devez allouer à votre projet de déménagement. Vous avez le choix entre faire appel à une entreprise de déménagementet louer un véhicule adapté pour vous occuper vous-même de votre changement de domicile. Cette deuxième solution peut toutefois être assez stressante, car vous devez tout prendre en charge. En revanche, en faisant appel à un professionnel, vous aurez l’esprit plus tranquille. En effet, les entreprises de déménagement offrent un service de déménagement complet, allant de l’emballage de vos affaires à l’installation dans le nouveau bâtiment. Ces prestataires disposent également de monte-charges, pour faciliter le déplacement des objets lourds et encombrants.

Pour trouver le bien immobilier idéal, vous avez plusieurs possibilités. Vous pouvez effectivement vous adresser à des agences immobilières qui disposent d’un large choix de biens et qui peuvent fournir des conseils personnalisés. Les sites internet spécialisés sont également une solution pratique pour chercher un bien immobilier. Ils permettent de filtrer les résultats selon différents critères de recherche et de visualiser les annonces avec des photos et des descriptions détaillées. En outre, vous pouvez aussi consulter les réseaux sociaux, qui constituent une source d’informations intéressante, grâce aux groupes dédiés à l’immobilier.

Pour faciliter votre recherche, il est préférable de définir à l’avance votre budget et de prendre en compte certains critères, comme la localisation, la taille, le nombre de pièces, l’étage, la luminosité, etc. Bien que les annonces comportent généralement des photos du bien proposé, il est toujours plus prudent de visiter le logement pour le voir de vos propres yeux. Vous pouvez ainsi éviter les mauvaises surprises (murs fissurés, plancher en mauvais état, etc.).

Quels sont les critères à prendre en compte pour choisir un bien à louer ?

En définissant clairement vos priorités, vous pouvez éviter de perdre du temps et de l’argent dans le choix du bien à louer. L’emplacement est un critère important à prendre en compte. La proximité des transports en commun est une option pratique. Si possible, cherchez des biens situés à proximité des arrêts de bus, de métro ou de tramway. Privilégiez aussi les maisons à proximité des supermarchés, des boulangeries, des pharmacies et des restaurants. Le loyer est aussi un critère non-négligeable. Cela dépend généralement de la situation géographique du bien et des dimensions de celui-ci.

Quelles sont les précautions à prendre avant de signer le contrat de location ?

Avant de signer un bail de location, prenez les précautions nécessaires pour éviter les mauvaises surprises. De ce fait :

  • Lisez attentivement tous les termes et conditions du contrat avant de signer. Si une information vous semble ambiguë, demandez des explications à ce propos.
  • Assurez-vous de comprendre les modalités de paiement, les frais supplémentaires et les conditions d’annulation du contrat.
  • Vérifiez l’état général du bien immobilier avant de signer. Si vous remarquez des problèmes, comme des fuites d’eau ou des problèmes d’électricité, assurez-vous qu’ils sont résolus avant de conclure le contrat de location.
  • Si vous avez des doutes ou des préoccupations, n’hésitez pas à demander conseil à un professionnel de l’immobilier.
En quoi consiste le diagnostic état parasitaire ?

En quoi consiste le diagnostic état parasitaire ?

Le diagnostic état parasitaire permet de détecter la présence d’insectes dans un logement. Comment ça se passe ? Est-ce que c’est obligatoire ? À qui faire appel pour réaliser cet examen ? À quel prix ? Découvrez les réponses à toutes ces questions dans cet article.

Comment se passe un diagnostic état parasitaire ?

L’état parasitaire est un diagnostic immobilier ayant pour objectif de repérer la présence d’insectes dans une maison individuelle ou en copropriété. À la différence du diagnostic termites, celui-ci ne se limite pas à la recherche de termites, mais également aux différents nuisibles comme les larves, les champignons lignivores et les xylophages. Comme pour le diagnostic termites, l’état parasitaire commence par une inspection visuelle complète du bâtiment. Pour réaliser cet examen, il faut faire appel à un professionnel qualifié d’un centre agrégé AFNOR. En effet, les insectes nuisibles ne sont pas souvent visibles à l’oeil nu puisqu’ils n’aiment pas la lumière. De ce fait, l’opérateur doit inspecter les endroits favorables à leur développement et réaliser un sondage non-destructif sur certaines structures en bois. Cela concerne les plinthes, les cadres, les portes, les planchers, les fenêtres, etc.

Quand réaliser un diagnostic état parasitaire ?

Le diagnostic état parasitaire concerne les logements individuels et collectifs situés dans les zones faisant l’objet d’un arrêté préfectoral et qui sont déclarées comme infestées par les termites. Par conséquent, ce diagnostic est obligatoire en cas de vente de ces biens immobiliers. En France, les communes les plus touchées sont le Finistère, les Côtes-d’Armor, le Nord-Pas-de-Calais, le Hauts-de-Seine, le Val-de-Marne et Paris. Si le vendeur mentionne de fausses informations ou refuse de réaliser le diagnostic état parasitaire, l’acheteur peut porter plainte auprès du tribunal et demander l’annulation de la vente. Il en est de même s’il fait appel à un diagnostiqueur non-certifié. Le vendeur peut se faire sanctionner par une amende pouvant atteindre 3000 euros. En dehors de ces zones, le diagnostic état parasitaire est indispensable puisqu’il permet de confirmer l’état du bien au moment de la transaction.

À quel prix s’élève le diagnostic état parasitaire ?

Il n’y a pas de prix forfaitaire pour un diagnostic état parasitaire puisque cela dépend en grande partie de :

-la taille du bâtiment ;

-l’accessibilité du bien ;

-ainsi que du professionnel qui intervient.

Pour l’expertise d’un studio, le coût peut varier entre 85 et 100 euros. S’il s’agit d’un logement T2, cela peut s’élever entre 95 et 110 euros, entre 125 et 150 euros pour un T3 et entre 150 et 190 euros pour un T4. Par contre, pour un logement de 3 pièces, sachez que la réalisation d’un diagnostic état parasitaire peut coûter entre 145 et 200 euros. Dans cet examen, le professionnel doit encore inclure les frais de déplacement ainsi que la rédaction du rapport.

Quelle est la validité d’un diagnostic état parasitaire ?

À la différence des autres diagnostics immobiliers, celui-ci n’a pas de durée de validité définie. En effet, il a uniquement pour but d’informer l’acquéreur en cas de vente et au moment de la signature de l’avant-contrat. Dans le rapport de l’expertise, le diagnostiqueur doit mentionner le bien concerné, les éléments inspectés et ceux infestés. Par contre, s’il a été réalisé en même temps que le diagnostic termites, sa validité est de 6 mois à partir de sa date de réalisation. Si le diagnostic état parasitaire est déclaré positif, le propriétaire du bien dispose d’un délai de 1 mois pour faire la déclaration à la mairie. Les mesures prises dépendent également de l’importance de l’infestation et des dégâts causés par les nuisibles.

Il est également interdit de vendre un bâtiment déclaré comme infesté d’insectes lignivores. Cela est dangereux pour la santé des occupants de la maison et constitue un risque pour les fondations du logement.

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À combien s’élève le prix de construction d’un terrain multisport ?

On les trouve dans les écoles et les universités, les clubs, les centres de loisirs et les espaces publics : des surfaces en tartan rouge brique avec des marquages ​​colorés, deux buts, un panier de basket et une haute clôture avec grillage, des terrains multisports. Leurs surfaces en tartan absorbant les chocs ont de très bonnes propriétés de rebond de balle, protègent les athlètes des blessures, sont antidérapantes et les variantes perméables à l’eau sèchent rapidement après une averse. Selon leur taille et leur équipement, les terrains multisports peuvent être utilisés pour de nombreuses disciplines comme le football, le tennis, le volley-ball, le hockey, le handball et le basket-ball, ainsi que pour des cours de saut en hauteur et en longueur ou de gymnastique. Dans cet article, on abordera le coût général de la construction d’un terrain multisport, mais aussi certaines étapes indispensables à considérer pour réussir le projet.

Coût et investissement généraux

Une partie du projet consistera bien évidemment à comprendre et à chiffrer les coûts globaux de la construction d’un terrain multisport.

Ci-dessous, on donnera une vision générale des estimations des coûts de construction pour plusieurs types d’infrastructures.

Pour les terrains intérieurs

– Surface de pratique : 150 à 250 € par mètre carré

– Espace de loisirs additionnel : 200 à 300 € par mètre carré

Pour les terrains extérieurs

– Terrain d’entraînement/de loisirs : 400 à 500 € le mètre carré

– Terrain de compétition : 400 à 800 € le mètre carré

– Terrain aux normes olympiques : 500 à 1 200 € le mètre carré

Millet Culinor a accompagné de nombreux promoteurs, écoles, collectivités, particuliers et autres professionnels dans le 65 pour l’installation et l’aménagement de leurs équipements sportifs sur des terrains multisports.

Les critères à prendre en compte avant de se lancer

Voici donc les critères les plus importants à considérer pour la construction d’un terrain sportif multifonctionnel.

Songez à l’utilisation que vous en ferez

Pour quels sports est destiné le terrain multisport ? Qui va l’utiliser ? Le terrain sera-t-il ouvert au public, afin de réfléchir à des mesures anti-vandalisme ? À quelle fréquence sera-t-il entretenu et par qui ? Toutes ces questions et d’autres encore doivent être convenues à l’avance afin que vous puissiez choisir le meilleur revêtement de sol et le bon équipement. En effet, tous les types de sols synthétiques ne conviennent pas à tous les types de sports et à toutes les intensités d’utilisation. Des experts comme Millet Culinor peuvent vous aider à répondre à ces questions, ainsi qu’à respecter les réglementations en vigueur et à calculer les coûts de construction du terrain de sport.

Pensez aux normes concernant les dimensions et les marquages standards

Il existe trois tailles standards pour les terrains multisports qui peuvent être étendus pour inclure des sites de saut en hauteur et en longueur.

  • Le terrain de jeu de 20 x 28 m est la plus petite version, adaptée à deux terrains de volley (18 x 9 m chacun, marquage bleu) ou un terrain de basket (26 x 14 m, marquage jaune).
  • Avec une superficie moyenne de 26 x 44 m, vous pouvez aménager trois terrains de volley (18 x 9 m chacun, balisage bleu), deux terrains de basket (28 x 14 m chacun, balisage jaune) ou un grand terrain de handball (40 x 20 m, marques orange) dans cette taille de terrain tout temps.
  • 28 x 44 m est la taille d’un grand terrain tout temps sur lequel peuvent être joués tennis, handball, basket-ball et volley-ball (23,77 x 10,97 m, marquage blanc) ou avec lequel un grand terrain polyvalent de 40 x 26 est disponible.

En ce qui concerne les dimensions des terrains de basket, il convient de noter qu’il s’agit de la taille d’un terrain d’école, dans les ligues professionnelles, la taille est de 28 x 15 m. De plus, le stand de basket doit avoir une hauteur de 2,25 m.

décoration Home Staging épuré

3 minutes pour comprendre le Home Staging

Le Home Staging, c’est la manière de renouveler la décoration, le charme des pièces de votre maison à moindre coût. Les vieux meubles sont restaurés ou customisés pour leur donner une seconde vie ou une nouvelle fonction. Le Home Staging est aussi une pratique très utile pour la vente d’un bien immobilier. Si vous voulez en découvrir davantage sur cette tendance qu’est le Home staging, lisez cet article.

Le Home Staging : un concept transcendant les frontières

A l’origine, cette technique de décoration a vu le jour aux États-Unis. Puis, peu à peu, elle a séduit l’Europe et s’est étendue à travers le monde. Qui ne connaît pas cet art maintenant, même les écoles de décoration intérieure ne jurent que par cette méthode révolutionnaire.

En effet, le Home Staging, c’est l’art de mettre en valeur un bien immobilier en disposant les meubles de façon à attirer le regard. Si vous ne savez pas par où commencer, faites appel au service d’une agence immobilière comme VALU IMMO, Bordeaux Caudéran Saint Augustin qui est entre autre spécialisée dans les services de Home Staging.

Désencombrez et réaménagez les pièces

La règle d’or du Home Staging est de nettoyer visuellement les parties de votre maison que vous souhaitez rafraîchir. Pour ce faire :

  • Faire le tri dans vos affaires en faisant un grand rangement ;
  • Garder les objets de valeurs pouvant servir et donner le reste (aux associations) ;
  • Se débarrasser des meubles encombrants pour faciliter la circulation dans votre intérieur (décharge public ou donation) ;
  • Organiser votre espace en déplaçant d’une manière stratégique le mobilier restant.

Revalorisez les différents espaces

Vous devez repenser la configuration de vos pièces. Pour cela, il faut :

  • Se renseigner sur les nouvelles tendances du moment en matière d’aménagement intérieur, attribution réglementaire (mètre carré des chambres ou pièces de vie) ;
  • Redonner une fonction à chacune des pièces ;
  • Délimiter chaque compartiment (cuisine, salon, salle à manger) ;
  • Ajouter un élément à la mode (objet de déco).

Réparez ou gommez les imperfections

Vous devez soigner votre décoration, car les petits défauts peuvent faire tache dans votre nouvelle vision d’ensemble. Il faut donc :

  • Reboucher les éventuels trous, fissures dans les murs ;
  • Changer les ampoules, poignets défectueux ;
  • Appliquer une nouvel couleur sur les murs (de préférence neutre) ;
  • Astiquer la salle d’eau, les miroirs, les joints, etc.

Harmonisez la décoration

Le Home Staging implique comme tout principe de décoration d’intérieur une harmonisation dans le choix du thème, de l’ambiance choisis et des coloris. Il faut garder une certaine cohérence afin de ne pas tomber dans l’excès et dans la démesure.

NB : un conseil valable aussi pour la mise en scène des pièces lors de la vente.

Uniformisez les sols

Cela peut paraître dérisoire, mais le sol de votre demeure joue un rôle important dans l’harmonie de votre déco. Optez donc pour un revêtement véhiculant un effet de grandeur.

Par exemple :

  • Un carrelage : cette matière agrandie l’espace au sol ;
  • Un parquet : cet élément donne une vision de continuité.

Soignez l’entrée de votre maison

La première chose que les gens vont voir en premier, c’est l’extérieur de votre maison, l’entrée de votre demeure. Vous devez donc commencer par embellir le pas de votre porte, ne négligez aucun détail :

  • Fils électriques apparents ;
  • Ampoules défectueuses ;
  • Saletés, tâches, moisissures, etc.

L’entrée reflète votre personnalité et donne un aperçu de la suite de la décoration.

Recyclez vos affaires

Le meilleur conseil Home Staging c’est qu’il ne faut rien gaspiller, ni rien jeter. Sauf si c’est dans un état de délabrement total. Vous devez donner une seconde jeunesse à vos mobiliers. Il existe différentes astuces sur le net pour vous faire une idée de changement de style décoratif.

Réaménagez le balcon

Si vous possédez un balcon, ne l’utilisez pas pour servir de débarras. Au contraire, transformer cet endroit en un atout visuel : mettre des mobiliers de jardin, plantes, décorations lumineuses, etc.

Tout ce que vous devez savoir sur l’assurance Multirisque Habitation

Le contrat d’assurance multirisque habitation ou MRH est un contrat qui permet d’assurer et de protéger le patrimoine familial, dont l’habitation et le mobilier, lorsque le propriétaire ou le locataire est responsable ou victime d’un sinistre naturel ou causé par/à des tiers. Il constitue une offre d’assurance optimale pour votre habitation. Il s’adresse aux entités assurées voulant profiter de plusieurs garanties afin de protéger convenablement leur foyer et celui de leurs proches. Quels sont les points importants à savoir sur ce type d’assurance ?

Que veut dire « assurance Multirisque Habitation » ?

L’assurance multirisque habitation ou MRH est une assurance habitation qui a pour but de faire face aux charges liées à un sinistre affectant votre maison et son contenu. Ce type d’assurance est facultatif pour les propriétaires, mais si vous êtes en situation de copropriété, elle devient une obligation. Les locataires doivent également se soumettre à un contrat d’assurance multirisque habitation quand ils entrent dans un logement. En effet, la loi impose aux locataires de souscrire un contrat d’assurance couvrant les risques locatifs au minimum, car il est possible qu’un incendie ou une explosion endommage totalement l’habitation. Cependant, il est à noter que cette assurance minimum légale n’implique pas la protection de ses biens personnels et sa responsabilité civile en cas de dommages corporels ou matériel causés à un tiers. De ce fait, le contrat MRH couvre les risques auxquels votre logement est exposé ainsi que les personnes qui y vivent.

Quels sont les types de garanties ?

Il existe deux types de garanties qui doivent être pris en compte. Le premier implique les garanties couvrant les dommages aux biens contre l’incendie, le vol, le vandalisme, les dégâts causés par des eaux, ainsi que d’autres causes. Le second concerne la garantie de responsabilité civile qui permet de couvrir une partie des dommages que l’assuré cause à son entourage ou à des tiers. En général, cette garantie est importante pour les personnes habitant dans votre maison dans le cadre des actes de vie privée.

En outre, le contrat comporte certaines garanties obligatoires comme les garanties tempêtes et catastrophes naturelles. Il peut aussi comprendre d’autres garanties non-obligatoires comme les garanties d’assistance par exemple. Ce type de garantie est optionnel, mais il s’avère parfois nécessaire.

Quels sont les points à vérifier avant de signer un contrat d’assurance MRH ?

Le contenu du contrat d’assurance dépend du titre du souscripteur, c’est-à-dire que le contenu est différent si vous êtes propriétaire, locataire ou copropriétaire. Le bâtiment joue également un rôle important dans la définition du contrat, car les mentions dans le contrat dépendent du patrimoine immobilier à assurer : une maison individuelle ou un appartement.

Sachez également que si vous souscrivez des garanties au-delà des obligations, les contrats d’assurance multirisque habitation peuvent être très différents et la facture peut grimper rapidement. De ce fait, prenez du recul et identifiez vos principales exigences et vos besoins, et comparez les offres que les prestataires proposent.

En général, les assureurs prévoient également un plafond de garantie, c’est-à-dire qu’il y a un montant maximal que l’assureur pourra indemniser pour les types de dommages et une franchise, une somme d’argent qui est à la charge de l’assuré en cas indemnisation par l’assureur. Ces conditions sont stipulées dans le contrat. Ainsi, vérifiez que ces points sont bien dans le contrat d’assurance.

Cependant, s’il y a une négligence de la part de l’assuré en cas de sinistre (vous avez laissé la fenêtre ou la porte ouverte par exemple.), il est possible que l’indemnisation soit diminuée, voire même, annulée par l’assureur.

porte de garage

Principaux facteurs à considérer avant l’achat d’une porte de garage

Vous jugez qu’il est temps d’acheter une nouvelle porte de garage pour diverses raisons Dans tous les cas, le choix d’une nouvelle porte de garage peut sembler décourageant au début. C’est assez compréhensible, car il s’agit d’un gros investissement et d’une partie très importante de votre maison. C’est pour cette raison que nous avons établi les principaux critères à prendre en compte lors de l’achat d’une porte de garage.

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Guide pratique pour choisir le bon serrurier ?

Dans la vie, nous vérifions toujours la sûreté et la sécurité de chaque objet avant de nous en servir. Il en va de même lorsque vous cherchez à faire appel aux services d’une agence pour des travaux de serrurerie sur votre propriété. Lorsqu’il s’agit d’engager des serruriers, gardez donc à l’esprit que rien n’est plus vital que l’enquête nécessaire lorsque vous cherchez à travailler avec le meilleur professionnel à Grenoble. Lorsque vous cherchez à embaucher correctement un serrurier, il y a plusieurs considérations critiques à prendre en compte. En voici une liste complète.

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La loi Pinel : application aux anciens bâtiments

La loi Pinel : application aux anciens bâtiments

Vous ne disposez pas d’un bien immobilier neuf, mais vous êtes sidéré par la défiscalisation fiscale de la loi Pinel. Aucun souci à vous faire, cette loi exerce aussi une réduction d’impôts pour les anciens logements. Découvrez ici comment elle s’applique et les conditions nécessaires pour en bénéficier.

De quelle façon faut-il investir en Pinel ancien

Cette méthode de défiscalisation n’est pas connue de tous. Elle s’adresse aux logements qui ont déjà été occupés au moins une fois. Encore appelée programme Pinel ancien réhabilité, elle donne la possibilité aux investisseurs de profiter du même avantage fiscal qu’un propriétaire de résidence neuve et du déficit foncier.

Faire un investissement dans le Pinel ancien n’est pas une chose difficile. En effet, en raison de la longueur et du cout de la procédure, les investisseurs ont tendance à fuir cette méthode. Pour investir, vous devez :

  • rentrer en possession d’un bâtiment jugé inhabitable ;
  • avoir contact avec un professionnel autonome bien avant les travaux de réhabilitation ;
  • démarrer les travaux de rénovation en conservant toutes les factures payées tout en sachant que vous avez 30 mois de justesse pour finir ;
  • Effectuer une évaluation du bien immobilier au terme des travaux par un expert en la matière afin d’attester que la réhabilitation de la résidence est conforme aux critères préétablis par la loi en ce qui concerne les performances de décence et techniques ;
  • Mettre le bien en location en suivant les conditions d’un bien immobilier neuf Pinel.

De quel type de bien immobilier ancien s’agit-il ?      

Pour bénéficier de la défiscalisation fiscale Pinel ancien, vous devez disposer entre deux types de bien immobilier. Il s’agit d’une résidence en état de dégradation comme celui du dispositif Denormandie ou d’un local industriel ou commercial qui sera changé en logement habitable.

En effet, on considère qu’une résidence est en état de délabrement lorsqu’elle n’est pas conforme aux critères d’un logement décent définis par la loi. Le logement ne doit pas être habité. Pour confirmer le caractère d’une maison habitable ou non, le gouvernement a établi 15 critères dans l’article 6 de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989.

Les conditions favorisant l’obtention d’une défiscalisation Pinel ancien

Pour profiter de la Pinel lorsque vous avez un logement ancien vous devez faire comme prévu des travaux pour modifier la résidence avec l’aide d’un expert en la matière. Pour ce fait, vous êtes censé remplir certains critères particuliers. N’oubliez pas que votre bâtiment doit être dans l’une des zones de la loi Pinel.

Concernant les zones, vous devez savoir que le zonage Pinel de 2020 n’est pas conforme à celui de 2017. C’est seulement les zones A, A bis et B1 qui sont dorénavant d’actualité pour le dispositif Pinel. Prenez en compte le plafonnement des loyers et des ressources des locataires selon la loi Pinel neuf.

Quelle prérogative fiscale aurez-vous ?

Si vous investissez dans un bien immobilier en Pinel ancien, vous aurez les mêmes avantages qu’en Pinel neuf. Il s’agit d’une diminution de 12 % à 21 % du montant que vous avez investi pour acheter le logement. Vous avez une durée de location allant de 6 à 12 ans.

De plus, vous devez savoir que cette période n’est pas fixe et elle peut être changée en cours de bail. Cependant, la loi Pinel ancien ne donne pas accès à un droit de réduction de taxe foncière ni à des frais de notaire à l’inverse du Pinel neuf. Toutefois, vous pouvez gommer une portion ou l’entier de vos gains fonciers avec ce dispositif.

Vous avez maintenant des informations pouvant vous aider à bénéficier de la loi Pinel lorsque vous disposez un ancien bien immobilier. Investissez à présent afin de bénéficier d’une réduction d’impôts. Toutefois, faites attention aux critères.